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Festival international de jardins – Nouveaux jardins et installations

  • Publié le 10 Juin 2025
Festival international de jardins – Nouveaux jardins et installations Festival international de jardins

Le samedi 21 juin, ouverture de la 26e édition du Festival international de jardins. À cette occasion, les visiteurs pourront découvrir les nouveaux jardins et installations sur le thème Frontières en compagnie des concepteurs, des conceptrices et de la directrice artistique.

La journée d’ouverture débutera à 10 h 30 avec la conférence Forêt de bâtons bleus – Hommage à Claude Cormier (1960-2023) par CCxA.

Cet hommage à l’architecte paysagiste et à son œuvre aura pour fil d’Ariane le Jardin de bâtons bleus – de sa création en 2000, à l’occasion de la première édition du Festival, jusqu’à son évolution en la Forêt de bâtons bleus.

Nouveaux jardins et installations

 De 13 h à 16 h, les visiteurs pourront découvrir les nouveaux jardins et installations en compagnie des concepteurs, des conceptrices et de la directrice artistique.

Des 180 propositions reçues (27 pays), quatre ont été retenues. Sur la photo principale, rangée du haut, l’œuvre BACK / GROUND de Patrick Bérubé | Québec, Canada, et  Peek-a-Boo d’Hermine Demaël et Stephen Zimmerer | Québec, Canada + États-Unis. Rangée du bas, Scars of Conflict  de Michael Hyttel Thorø | Danemark, et You Shall (Not) Pass de Simon Barrette | Québec, Canada.

Ève De Garie-Lamanque, directrice artistique, a invité concepteurs et conceptrices de tous horizons à repenser la notion de frontière dans le contexte postcolonial actuel, puis à transposer leurs réflexions dans un jardin-environnement brouillant les disciplines, renégociant les idées reçues sur le jardin / le paysage et dialoguant activement avec le public.

Identité visuelle

Le Festival se déroulera cette année sur le thème Frontières brillamment illustré par le studio de design graphique indépendant bureau60a. La thématique s’est révélée particulièrement riche pour l’équipe composée de Simon Guibord (Gatineau) et Rachel Monnier (Percé).

 

D’une part, la référence aux sciences cartographiques, et plus particulièrement au langage graphique du cartographe (le trait, le point, la tache, le symbole) s’est imposée. De l’autre, une approche biocentrique a été privilégiée : que signifie la frontière dans le contexte du jardin ? Comment les facteurs humains, climatiques ou géographiques influencent-ils la migration des plantes?

Le Festival se poursuivra jusqu’au 5 octobre.

Plus d’information sur la nouvelle édition 

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